Le Monde de Nénait'

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Marshall ROSENBERG - Conférence sur la communication non-violente

Voici les liens de la conférence sur les bases de la non-violence de Marshall ROSENBERG :

 

Les bases de la communication non-violente (CNV) - 1

Les bases de la communication non-violente (CNV) - 2

 

Partie 1 : FAIRE DES OBSERVATIONS SANS JUGEMENT

Objectif : aider à faire quelque chose qu'on sait déjà faire (car on oublie et on est éduqué à oublier). Donc aider à nous rencontrer pour faciliter le don naturel entre nous.

Donner sans attendre un retour. Echange de dons.

Nous jouons souvent au jeu de "Qui a raison?" Voici en quoi il consiste :

1) la punition car, si vous avez tort, vous méritez de souffrir,

2) la récompense car, si vous avez raison, vous méritez une récompense,

Mettre fin à ce jeu est mettre fin à la honte, à l'humiliation.

 

Comment en sommes-nous arrivés là?

 

Selon Walter Wink, nous nous sommes écartés de ce don naturel il y a 5 000 ans. Nous avons adhéré à une pensée complètement folle : par nature, l’être humain est malfaisant. Nous avons fini par croire que pour faire changer les gens, il faut faire en sorte qu’ils se détestent.

  • Le langage de chacal : langage qui nous coupe de la vie et qui rend le recours à la violence plus facile. Dans notre culture de domination, nous rendons la violence agréable. Nous utilisons un langage de jugement en termes de morale.

Les différentes parties du jeu :

1)      Les jugements

2)      Amtsprache (langage bureaucratique) : langage qui nie la responsabilité de choisir, la responsabilité de nos actions.

 

  • Le langage de girafe : langage qui vient du cœur (la girafe a le plus gros cœur). Nous faisons ce que nous choisissons. Ne jamais essayer de changer quelqu’un. Exprimer ce que nous ressentons et ce que nous aimerions.

EXERCICE A : Penser à quelqu’un qui nous rend la vie un peu moins merveilleuse, expliquer pourquoi.

 

Il faut séparer les opinions des faits : c’est difficile. Que ce soit une personne ou une action, nous avons été élevés à les voir comme un ennemi.

TROP est un jugement. Les personnes qui parlent chacal sont amenées à penser qu’il y a une quantité juste pour quelque chose : trop ou trop peu.

Krishnamurti : « Observer sans évaluer est la plus haute forme d’intelligence humaine. »

REPROCHER évoque un jugement. Il faut énoncer selon les faits et rien que les faits. Quand on apprend à parler et entendre girafe, il devient impossible d’entendre des insultes, des reproches, etc, nous entendons seulement des STP et des MERCI. Tout ce qui y ressemble est l’expression tragique et suicidaire d’une seule chose : STP.

REFUSER est un diagnostic. Toute évaluation de quelqu’un qui implique une faute est l’expression tragique d’un besoin non satisfait. Tragique car ça diminue la chance d’obtenir ce que l’on veut et car la probabilité d’actes violents comme réponse augmente.

Il faut trouver le besoin caché derrière les propos et les actes.

 

EXERCICE B : Imaginer que vous parlez directement à cette personne, exprimer ce que vous ressentez, ce que la personne a fait à l’exercice A. « Lorsque tu fais cela, je me sens… »

 

COLERE est un sentiment, une émotion provoquée par une pensée pas naturelle. INTIMIDé est une évaluation masquée car ça implique l’autre comme INCOMPRIS, UTILISé, JUGé, IGNORé, HUMILIé, OFFENSé, etc.

JE PENSE QUE signifie qu’on pense avec sa tête donc ça diminue les chances d’obtenir ce que l’on veut, surtout quand c’est suivi de TU.

Ne pas aller dans notre tête, rester dans notre cœur où se trouvent sentiments et émotions. Donc ne pas utiliser TU ME RENDS COMME CA ou JE ME SENS AINSI A CAUSE DE TOI.

Dans un monde chacal, les sentiments sont utilisés pour manipuler et entrainer de la culpabilité, c’est-à-dire convaincre que nous sommes malheureux à cause d’eux et qu’ils doivent se sentir coupables et ainsi changer.

Vous pouvez toujours choisir ! Ne pas se soumettre, ne pas se rebeller, ne pas donner notre pouvoir de décision. La violence entraine la violence.

 

PARTIE 2 : BESOINS ET REQUETES

 

Nous n’attribuons pas la responsabilité de nos émotions aux autres. Certains sentiments nous préviennent que nous ne sommes plus liés à nos besoins. Donc, si nous utilisons le langage chacal (ce qui provoque colère, dépression, culpabilité et honte), c’est que nous sommes repartis dans notre tête.

Nos besoins ne contiennent aucune référence sur la manière de les obtenir. On parle de stratégie, de préférence et de requête.

 

Comment connecter sentiments et besoins ?

 

Rester connecté à notre cœur. Ça nous donne du pouvoir avec les autres. Ça augmente le souhait des autres de nous donner, le plaisir de donner. Souvent le don ne vient pas du cœur. Quand les autres entendent nos besoins, ils n’entendent plus de critique, de jugement ou d’exigence.

 

EXERCICE C : « Quand tu fais…, je me sens… car j’ai besoin… » N’utiliser que le JE.

 

Ce qui diffère entre les gens, c’est la façon de satisfaire les besoins. Selon la culture de chacun, les besoins ne sont pas les mêmes. Ne pas ramener l’autre dans nos besoins. Ne pas mélanger besoins et requêtes. Exemple : Le besoin d’amour est différent du besoin que l’autre nous aime. L’amour est un besoin, pas un sentiment. Les sentiments évoluent chaque seconde : donc pour répondre à la question « est-ce que tu m’aimes ?, il faut répondre à la question « quand ? ».

Voici un dialogue entre un chacal et une girafe sur leur relation :

CHACAL – Est-ce que tu m’aimes ?

GIRAFE – Chacal, avant pouvoir répondre à ta question, j’ai besoin de clarifier certaines choses très importantes. Est-ce que pour toi le mot amour est une émotion ?

C – Bien sûr !

G – OK, j’avais besoin d’être sûre. Tu veux dire : est-ce que je ressens une certaine tendresse, une chaleur, une affection envers toi ?

C – Oui !

G – OK, j’avais besoin de clarifier parce que nous, les girafes, nous n’utilisons pas le mot amour comme une émotion, un sentiment. Pour nous, c’est un besoin. C’est très important de ne pas le confondre avec un sentiment. Et maintenant que je sais que tu l’utilises comme un sentiment, est-ce que tu peux me reposer la question ?

C – Est-ce que tu m’aimes ?

G – Quand ?

C – Quand ?!

G – Je veux être honnête, je vois que cette question est très importante pour toi. Et comment être honnête sans me référer à un moment précis. Les sentiments évoluent chaque seconde, la vie est en changement perpétuel. Les sentiments font partie de la vie. Pour pouvoir te répondre, j’ai besoin d’un moment précis et d’un lieu.

C – Maintenant, par exemple.

G – Non. Mais tu peux essayer dans un petit moment.

C – Je veux que tu m’aimes.

G – Tu as besoin d’amour Chacal et je suis honorée que tu me demandes.

C – Oui.

G – Je vois que c’est très important. Je veux être sûre d’avoir compris ce que tu voudrais de moi pour satisfaire ton besoin. Qu’est-ce que tu me demandes de faire pour satisfaire ton besoin d’amour ?

Mais le pauvre Chacal ne vit pas dans le présent. Pour faire une requête claire, il faut être dans le présent. Il faut être clair sur ce que l’on veut.

C – Oh, tu sais.

G – Non, je ne suis pas sûre de le savoir. Je vois à quel point c’est important pour toi. Peux-tu me dire de quelle manière spécifique ce que tu veux que je fasse ?

C – C’est dur de le de dire avec des mots.

G – Si c’est dur pour toi de le dire Chacal, peux-tu voir à quel point c’est dur pour moi de le faire ?

C – Je n’y avais jamais pensé.

G – Alors, qu’est-ce que tu aimerais que je fasse pour satisfaire ton besoin d’amour ?

C – C’est embarrassant de clarifier.

Une grande partie de l’oppression dans les relations amoureuses provient de ces demandes : je veux que tu me respectes, que tu m’aimes, que tu me comprennes sans être vraiment clair quand nous disons ça).

G – Qu’est-ce que tu veux dire Chacal quand tu me dis que tu veux que je t’aime ?

C – Je veux que tu devines ce que je veux avant que moi-même je ne le sache. Et je veux que tu aies toujours envie de faire ce que je veux.

G – Merci de la définir de cette façon Chacal, est-ce que tu pourrais trouver quelqu’un d’autre pour faire ça ?

 

Comment exprimer des requêtes claires après avoir exprimé nos besoins insatisfaits ?

 

Pour exprimer des requêtes qui soient claires, on utilise un langage d’actions positives. On dit ce qu’on veut et pas ce qu’on ne veut pas.

* Exemple 1 : Une femme dit à son mari : « Je ne veux pas que tu passes autant de temps à ton travail. » Puis la dame a été furieuse quand elle a appris que son mari s’était inscrit à un tournoi de golf.

* Exemple 2 : Une prof dit à son élève d’arrêter de taper avec son crayon pendant qu’elle parle. Il s’est donc mis à taper de la main sur la table.

Dire ce que nous ne voulons pas ne rend pas clair ce que nous voulons. Pire que ça, si nous nous concentrons sur le fait d’éliminer quelque chose, nous créons de la violence. Si nous tentons d’éliminer un comportement, la résolution du conflit est plus violente. Que voulons-nous que les autres fassent et pour quelles raisons voulons-nous qu’ils le fassent ? Ne pas utiliser le verbe ETRE ou SE SENTIR car il faut utiliser des verbes d’action.

 

EXERCICE D : En pensant à ce que la personne a fait et en relation avec vos sentiments et vos besoins, adressez-vous à la personne directement, exprimez vos demandes de la façon suivante : « J’aimerais que tu fasses… »

 

« STP, ne fais pas ce que j’ai demandé si tu as peur d’une punition ou si tu espères une récompense, par culpabilité ou par devoir. » Important que la personne le prenne comme une requête, pas comme une exigence.

 

Comment savoir si la personne nous a fait une vraie requête ou si c’était une exigence ?

 

Seulement à la manière dont la personne va nous traiter si vous ne faites pas ce qui est demandé. La joie disparait si nous ne nous sentons pas libres de donner. Nous montrons un respect de l’autre sans le rendre coupable ni le manipuler, nous essayons de trouver le moyen de satisfaire les besoins de chacun. JE SUIS DECU, il ne faut pas l’utiliser tout seul. Il faut aller jusqu’au bout sinon ça revient à un TU M’AS DECU.

Ne jamais faire attention à ce qu’un chacal pense. Ne prenez pas pour vous ce que pense un Chacal de vous.

 

PARTIE 3 : ENTENDRE LES AUTRES AVEC EMPATHIE

Nous parlons tous girafe jusqu’à environ un an.

 

Comment recevoir leur message sans entendre une critique ou une exigence ? Comment répondre à un chacal qui dit SVP ?

 

LE PROBLEME AVEC TOI, CEST QUE… : cette personne souffre, a un besoin non satisfait. Il faut deviner le sentiment de l’autre et deviner ses besoins. QU’EST-CE QUE TU RESSENS ? DE QUOI AS-TU BESOIN ?

Vous ne vivez plus dans un monde de critiques et de jugements. Vous éliminez le pouvoir que vous avez donné aux autres de vous déshumaniser. Vous ne vous inquiétez plus de la réaction des autres à ce que vous dites ou faites, vous pouvez être honnête sans peur. Je peux contrôler mes demandes, pas ce que les autres répondent. Si je m’inquiète de quelque chose que je ne peux pas contrôler, je deviendrai une gentille personne morte. J’aurais peur de me révéler.

Même si vous interprétez mal les sentiments et les besoins de l’autre, que vous vous trompez, que ce n’est pas juste, remarquez ce qui se passe. Vous montrez que vous accordez une grande valeur dans ce qui est vivant dans l’autre, que vous prenez le temps pour essayer de vous connecter à ce qui est vivant dans l’autre. Et quand l’autre a confiance, que c’est bien ce qui vous intéresse. Déjà là, la solution se met en place.

Ce qui rend difficile l’apparition de la solution, c’est quand l’un pense que l’autre n’est pas intéressé par la victoire. Ne pas confondre la non-violence et la gentillesse.

* Exemple d’une spectatrice : Elle dit à sa mère « j’aimerais que tu me demandes de l’aide quand tu en auras besoin. » Sa mère lui répond : « J’ai peur de devenir un fardeau. »

En langage chacal, la réponse serait : « Non, tu ne seras pas un fardeau. » Essayer de rassurer, de trouver une réponse rapide à la souffrance de l’autre, ils essaient d’améliorer la situation, de rassurer car ils ne peuvent pas supporter la douleur de l’autre, se débarrasser de la souffrance.

Quels besoins et sentiments éprouve-t-elle ? La personne est effrayée. Lui demander « est-ce que tu as besoin de confiance ? » - « J’ai besoin d’être sûre que si tu m’aides, c’est parce que tu en as vraiment envie. » Si nous n’en avons pas envie à 100%, il vaut mieux ne pas le faire. La solution nous trouvera quand la connexion empathique sera établie.

Jamais de MAIS au nez d’un chacal en colère !

 

Etablissement d’un vocabulaire, d’une liste des besoins :

EXERCICE 1 : LISTE ENVERS SOI-MÊME

-          Identifier l’expression chacal la plus utilisée

-          Identifier celle dont on a le plus peur

-          Identifier la façon dont vous vous parlez quand vous êtes moins que parfait

 

Essayer d’imaginer le stimulus, le contexte dans lequel chaque jugement a été exprimé.

 

EXERCICE 2 : LISTE ENVERS LES AUTRES

-           Quelles sont les expressions chacal que vous utilisez quand vous êtes en colère après quelqu’un ou que vous les jugez ?

-          Que dites-vous en vous-même ou aux personnes ?

 

Essayer d’identifier ce que l’autre a fait pour stimuler ce jugement (ce que vous dites quand on est en colère contre quelqu’un). Quand vous jugez cette personne pour ce qu’elle a fait, quel est le besoin que vous voulez satisfaire ?

 

EXERCICE 3 : LISTE DES MOTS ET PENSEES DES AUTRES SUR VOUS

-          Inscrivez ce qu’on vous dit qui vous fait réagir de manière agressive ou défensive.

-           Inscrivez ce que les autres pourraient penser de vous qui vous fait peur et qui vous font devenir une gentille personne morte afin d’éviter ces jugements.

 

Essayer d’identifier ce que vous avez fait pour provoquer ce jugement ainsi que le besoin exprimé par l’autre.

 

Ne pas entendre les attentes mais les besoins. Tous nos besoins peuvent être satisfaits. Choix de satisfaire les siens et ceux des autres. Savoir dire NON en girafe : ne pas dire NON, je ne peux pas, je ne veux pas, je n’ai pas le temps, ce n’est pas possible. NON = besoin insatisfait. Entendre sentiments et besoins sans se sentir impliqué. La personne peut s’énerver quand on parle des sentiments. Donc on peut juste rester silencieux.

 

PARTIE 4 : QUESTIONS, EXPRIMER ET RECEVOIR DE LA GRATITUDE

 

Nous avons tous un éducateur intérieur pour nous éduquer quand nous faisons quelque chose qui n’est pas parfait. Votre éducateur essaie de vous éduquer à travers la pénitence. Vous devez vous détester pour ce que vous avez fait. Il utilise un langage qui sous-entend qu’une mauvaise personne est quelque chose qui existe. Si vous vous excusez depuis cette énergie, c’est chacal. Toute excuse qui implique que vous avez fait quelque chose de mauvais va être néfaste pour vous et l’autre personne. Il faut se sentir mal en douceur afin d’apprendre de cette situation sans vous détester, au lieu d’un mal punitif. L’éducateur juge pour que vous appreniez, il vous veut du bien. Quel besoin l’éducateur essaie de satisfaire ?

Gandhi : « Nous avons plutôt été habitués à communiquer d’une façon pas très naturelle. »

Ne me dis pas : « Aie confiance en toi » mais dis-moi les actions que je dois mettre en place pour prendre confiance. Me dire ce que je dois ressentir me met dans un paradoxe.

1)      Montrer que vous comprenez ses actions,

2)      Exprimer honnêtement ses propres sentiments et besoins,

3)      Demander ce qui a été entendu : « Merci de m’avoir dit ce que tu as entendu. Je comprends que je n’ai pas été claire. »

4)      J’ai besoin que tu entendes mes besoins seulement.

 

Prendre plaisir à la souffrance des autres, c’est se délester de 2 types de responsabilité :

1)      Nous ne sommes pas la cause de sa souffrance. Se décharger surtout quand l’autre pense que nous sommes à la cause de sa souffrance psychologique.

2)      Penser que nous devons trouver une solution, que nous devons améliorer la vie. Energie réparatrice toujours disponible. Quand nous essayons de trouver une solution pour l’autre, nous bloquons l’énergie. Nous laissons cette énergie faire son travail avec de l’empathie qui requiert de la présence, juste le fait d’être présent. Bouddha : « Ne faites pas quelque chose, restez présent. »

Prendre du plaisir par la création d’une connexion empathique. Cette connexion soigne, pas les conseils. Ramener la conversation au présent quand quelqu’un parle du passé. On ne guérit pas en parlant du passé. Donc demander le sentiment maintenant en pensant au passé.

 

CNV : pas seulement pour régler des conflits mais aussi pour célébrer la vie ! C’est là où nous trouvons le carburant pour rester girafe. Le carburant vient de la célébration en disant MERCI.

Chacal : « T’as fait du bon boulot », « tu es une personne très gentille » sont des jugements positifs aussi violents que des négatifs. Pas de louanges ni de compliments. Donner un compliment dans le but de renforcer ce que fait une personne pour continuer de faire ce qu’elle fait, c’est comme donner un biscuit au chien. Ça fonctionne pendant un laps de temps jusqu’à ce que la manipulation soit remarquée.

 

Comment une girafe dit MERCI ?

 

1)      Nous attirons attention d’une personne sur ce qu’elle a fait pour nous rendre la vie un peu plus merveilleuse. Besoin de le faire quotidiennement. Nous devons prendre conscience du pouvoir que nous avons de rendre la vie un peu plus merveilleuse grâce aux mots. Chacun de nous est un puissant générateur. Expression de gratitude par l’action spécifique de l’autre, pas par l’aspect général.

2)      Quand nous donnons de la gratitude, exprimer nos sentiments pour ce que la personne a fait pour nous.

3)      Expliquer le besoin qui a été satisfait.

Si vous voulez faire peur à un chacal, parlez avec appréciation, sincérité et amour. Chacal a le concept du mérite : équivalence entre les choses. Humilité de chacal : « Ne soyez pas si humble, vous n’êtes pas si grand. » Golda Meir.

Gratitude effrayante, inscrite dans le livre « un cours au miracle » : « Ce n’est pas nos parties sombres qui nous font le plus peur mais c’est notre lumière. » Eduquer dans cette façon de se détester.

 

 

 



27/02/2015
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